EN CHAIR ET EN SON


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EDITO
Cette 7e édition sera exceptionnelle.

2018 : Je suis allé voir le festival butô de Hokkaido, j'y ai rencontré plusieurs danseurs de grande qualité,
dont Norihito Ishii, qui fait partie de Sankai Juku. J'avais particulièrement apprécié sa danse.
"Ce serait bien de le faire venir à En Chair et en Son" m'étais-je dit à l'époque.

2022 célèbre le centenaire de la naissance du compositeur Iannis Xenakis. Nous lui devons La légende d'Eer,
une très longue pièce électronique vraiment exceptionnelle. Je me dis toujours "ce serait magnifique avec de la danse butô"

Voilà l'idée d'une rencontre surprenante, telle que nous aimons les provoquer
dans ce projet de Chair et de Son : Norihito Ishii et Iannis Xenakis. Ce sera Dimanche 27 novembre.


Norihito Ishii viendra spécialement du Japon pour ce projet, accompagné de deux danseurs de sa Compagnie :
Zombie Kato et Yusuke Kawabata. Lors de leur venue ils animeront une master-class (Renseignements et inscriptions :contact@en-chair-et-en-son.fr).

Cette 7e édition regroupera 16 performances, avec de magnifiques musiques (que la sélection a été difficile parmi toutes les
propositions reçues...) : Denis Dufour, Marco Marini, Frédéric Kahn, Dante Tanzi, J-B Favory, G. Grassia, Alexandre Yterce, Vincent Laubeuf,
Vera Ivanova (venant spécialement de Los Angeles), Denis Royer, Charles Platel, Enrico Fiocco, J-B Sosa, Bruno Capelle, M Titin-Schnaider.

Les danseurs qui relèveront le défi viendront de Pologne (Sylwia Hanff pionnière du butô dans ce pays),
de Norvège (Sonja Salkovitsch), de New-York (Joan Laage), d'Italie (Kea Tonetti, Corinna Torregiani), d'Espagne (Mavi Haro),
de Grèce (Efi Farmaki), du Brésil (Luan Machado), d'Angleterre (Mai Nguyen Tri), du Japon (Juju Alishina et la Cie Butoh Ishii Gumi
...et de France (Yves Comeliau, Frédéric Rebière, Régis Moulu, Clémentine Balair) . Programme détaillé ici.

Cette année le festival est aidé par la Maison de la Musique Contemporaine, par la DRAC Ile de France (aides à résidence) et
par la fondation Franco-Japonaise Sasakawa. Un grand merci à eux pour leur soutien qui nous motive pour continuer à faire vivre ce projet si particulier.

Kea Tonetti, photo J-M Gourreau